
Témoignage - Apparition de Jésus

Je suis la lumière du monde Jean 8.12
Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie Jean 14.6
Je suis doux et humble de cœur Mt 11.29
Je suis venu pour les pécheurs Mt 9.13
Je suis le pain de vie Jean 6.48
Je suis dans le Père et le Père est en moi Jean 14.11
Je vous enverrai l'Esprit de Vérité qui vient du Père Jean 15.26
Jésus m’a montré son visage
C’était en 1991 et j’avais 25 ans. Jésus s'est approché de moi et m'a montré son visage.
Ce jour-là, j’étais à Paray-Le-Monial pour une dernière soirée de veillée avant de repartir le lendemain matin. Beaucoup s’étaient rassemblés dans la chapelle pour un temps d’adoration du Saint-Sacrement. L’assemblée était recueillie, tout entière dévouée à la prière et l’adoration.
J’étais là aussi pour prier. Et j'observais tous ces gens autour de moi. Chacun avait vraiment raison d'être là. La chapelle était habitée.
Et pourtant mon cœur était triste, triste depuis longtemps déjà, triste à vouloir en mourir, affecté par une blessure profonde, et le désir d’une autre vie, éternelle, sans peur et sans souffrance.
En effet, depuis quelques années je souffrais de pertes de connaissances inopinées. Les médecins disaient que ce n’était pas alarmant, de simples malaises vagaux, sans conséquence. Et c’était vrai, même si cela m’arrivait assez souvent.
Cela pouvait arriver n’importe quand et n’importe où, dans la rue, dans le métro, au travail ou au cinéma, et quasi systématiquement lorsque je rencontrais une situation de souffrance pour moi-même ou pour quelqu’un.
Chaque fois que je perdais connaissance, je me retrouvais séparé de mon corps et je voyais d’au-dessus les gens courir et s’affairer autour de moi.
Paradoxalement, dans cette situation, je n’éprouvais plus aucune douleur physique mais au contraire une grande paix. Parfois même, lorsque cela durait un peu plus longtemps, j’entrevoyais, un peu plus loin, un espace de vie et de lumière qui m’attirait.
Insidieusement, c’est installé en moi une sorte de recherche non consciente de ces moments privilégiés hors du monde, avec comme conséquence la perte progressive de tout goût pour la vie sur terre et une tristesse infinie.
Un jour j’ai pris le temps de me souvenir de toutes les fois où cela était arrivé et je les ai comptées. C’est arrivé quarante fois.
Et puis il y a eu des signes qui m’ont alerté et j’ai pris conscience que tout ceci n’était pas bon. Non seulement parce qu’il y a eu des situations où j’ai réellement failli perdre la vie en tombant, mais surtout parce que j’ai vu des gens, qui ne me connaissaient pourtant pas du tout, souffrir et pleurer sur moi. Un jour aussi, alors que j’avais perdu connaissance en voyant une femme en souffrance absolue sur un quai de métro, j’ai vu les gens se rassembler autour de moi, appeler les secours et s’affoler en criant, tandis que cette personne en besoin vital d’assistance à quelques mètres de là, était recroquevillée et oubliée de tous. Là, j’ai été bouleversé et j’ai ressenti une grande injustice.
Et je me souviens, un soir, j’ai prié : « Mais où es-tu Jésus ? ».
Alors j’ai décidé de chercher Dieu autrement, et surtout pas dans l’au-delà. J’ai visité de nombreux lieux sacrés et sites de pèlerinages. Je suis aussi allé à Lourdes, Pontmain, Czestochowa, Medjugorje, Paris, Taizé, Paray le Monial, etc.
Et c’est donc le dernier soir de mon séjour à Paray le Monial, que j’ai fait cette rencontre qui a changé ma vie.
A la fin du temps d’adoration, lorsque je suis sorti de la chapelle, j’ai ressenti le besoin de me retourner pour regarder une dernière fois ce lieu merveilleux et tous ces gens depuis le seuil de la porte.
Et là j’ai vu, debout au milieu de tous, Jésus qui remontait l’allée centrale depuis l’hôtel, en marchant doucement. Il marchait pieds nus, vêtu d’une tunique blanche, les mains ouvertes légèrement vers le bas. Il portait son regard sur chacun et tournait la tête de droite à gauche. Et il me disait : « Regarde... Regarde... Je suis là ! ». Il était rayonnant au milieu de tous, rayonnant de joie, d'amour pour chacun, et rayonnant d’une lumière blanche éclatante qui n’éblouit pas car on pouvait voir tous les traits de son visage. Il était profondément heureux, dans la bénédiction.
Apparemment, les gens ne le voyaient pas parce qu'ils ne tournaient pas la tête à son passage. Sa voix était intérieure et les gens ne pouvaient pas l'entendre.
Jésus s’est approché jusqu’à moi. Tellement près que je ne voyais plus que son visage. Il m'a regardé avec un large sourire. Il portait un regard d’espérance, à l’image du regard des enfants qui espèrent tout de nous, sans aucune arrière-pensée ni jugement. Un regard qui libère l’âme de toute peur.
J’ai contemplé la Vérité même dans la présence de Jésus. Vérité dont découle l’autorité absolue devant laquelle on ne peut rien opposer. J’ai compris le sens du mot " crainte " de Dieu face à la toute-puissance de la Vérité.
Puis, le temps d'un instant, j'ai pensé en moi-même : mais comment peux-tu être aussi joyeux, alors que moi je suis si triste ? Je me suis longtemps senti coupable de cette pensée et je la regrette encore profondément aujourd’hui. Pardonne moi Jésus.
Puis, il a disparu.
J’aurais tant voulu qu’il reste avec moi plus longtemps.
Je suis rentré sans en parler à personne et je me suis couché, bouleversé mais heureux et pour tout dire, sauvé.
Ce qui m’a semblé étonnant après coup, c’est que je n’ai même pas eu un sentiment de surprise. Comme si la présence de Jésus si proche ne m’était pas inhabituelle, ou en tout cas pas surprenante. D’ailleurs je tutoyais Jésus comme si on se connaissait depuis toujours.
Ce jour-là, j’ai vu l'essentiel, combien Jésus m'aimait, et combien il aimait chacun personnellement. Il est vivant, bien vivant auprès de nous. Je peux en témoigner !
Il a répondu à mon appel. Il a effacé ma tristesse à jamais par son regard. Il a changé mon propre regard sur le monde. L'œuvre de Dieu sur terre est grande et belle !
Il m’a sauvé aussi parce qu’à partir de ce jour-là, mes pertes de connaissances, où mon âme se séparait de mon corps, sont devenues de moins en moins fréquentes, jusqu'à disparaître complètement, et surtout, je ne les espère plus. J’ai compris qu’il me fallait vivre ma vie, être acteur dans le monde et être heureux.
Ce jour-là, j’ai rencontré Jésus en vérité. Il m’a ouvert les yeux et m’a vraiment sauvé.
Personne ne l'a jamais su, hormis un prêtre à qui je l'ai confié et qui m'a conseillé de prendre le temps du discernement, et puis ma femme bien sûr. Ce n'est qu'après de nombreuses années que j'ai commencé à en parler discrètement auprès de quelques personnes de grande confiance.
Jésus est mon ami, présent à mes côtés pour toujours.
Longtemps j’ai prié pour le revoir, mais, avec le recul du temps, je prie maintenant chaque jour pour que Jésus parle et se montre, en tout temps et en tout lieu, au plus grand nombre, et aux personnes les plus fragiles surtout, hommes et femmes du monde qui ont tant besoin de son aide.
Je suis sûr qu'il le fait.
Qu’est-ce que cela a changé dans ma vie ?
Après m'être posé mille questions et tenté d'y répondre, j'ai finalement réalisé l’importance de laisser le temps au temps.
Cette rencontre est tellement marquante qu’elle ne s’efface pas avec le temps. Au contraire, le temps permet le recul nécessaire pour en comprendre le sens profond.
Je comprends mieux maintenant pourquoi Jésus disait après avoir sauvé quelqu’un : « N’en parlez à personne. ».
Jésus ne vient pas provoquer le désordre. Il n’agit pas dans l’urgence.
Le risque est grand pour celui qui témoigne de se retrouver dans la lumière, sous le feu des projecteurs et d’attirer les regards à soi. Or le témoignage doit ouvrir un chemin vers Dieu seul. Jésus est la Lumière, tout est pour Lui et Lui seul mérite la gloire et la louange. Les personnes consacrées peuvent témoigner plus naturellement parce que leur vie tout entière est une offrande à Dieu pour l’édification du monde.
Témoigner n’est donc pas une fin en soi. Il est important de prendre le temps de discerner ce qui est bon et de remettre entre les mains du Seigneur nos pensées, nos gestes, et nos paroles pour ajuster nos souhaits à la volonté de Dieu. C’est ainsi que témoigner sur demande ou conseil d’une personne consacrée prendra tout son sens.
Jésus vient pour sauver les hommes. Et il ne le fait pas de force ou contre notre volonté. Il respecte le temps nécessaire à chacun.
Jésus nous propose un chemin de conversion dans la liberté. Il nous aide à la mesure de nos besoins, de nos attentes, de nos faiblesses.
Le temps permet aussi de faire face au sentiment de culpabilité qui vient du malin.
Se sentir coupable de n’avoir pas su répondre à la hauteur de ce qu’il m’a donné, de n’avoir pas su témoigner de suite, de n’avoir pas su changer de vie pour tout laisser tomber, de ne pas avoir su faire preuve de plus d’humilité et de respect.
Tout cela semble décevant en effet, mais il en va de ma nature propre et de ma condition humaine. Avec le temps, reconnaître ces faiblesses me permet de vivre plus humblement à ma juste place.
L’orgueil est pour moi la source d'un grand combat intérieur. C’est l’orgueil qui pousse instinctivement à tous les écarts de pensée, de langage et de comportement. L’orgueil est l’inverse du don de soi.
C’est dans l’humilité de la prière que je peux accueillir Jésus dans ma vie.
Et c’est par notre prière que Jésus peut agir auprès de nos proches et dans le monde.
Aujourd’hui, ma foi n’est pas de " croire " que Dieu existe, mais de " savoir " qu’il existe.
Savoir que Jésus est Vivant au sens propre du mot. Il est vraiment présent, à nos côtés. Je le sais parce qu’il m’a donné de le rencontrer.
Savoir que Jésus m’aime profondément, et qu’il espère le meilleur de moi et pour moi.
Je suis conscient de n’avoir absolument rien fait d’extraordinaire qui puisse expliquer autant de reconnaissance et d’amour.
Ma foi n’est donc ni glorieuse, ni courageuse, ni méritée et cela doit me rendre plus humble.
D'ailleurs, je reconnais encore mes manques de foi lorsque je m'inquiète, et doute de la présence de Dieu, face à des situations injustes ou sans issue.
J’ai appris à me tourner davantage vers les autres, à être beaucoup plus attentif et attentionné vis-à-vis des personnes seules et des plus fragiles.
J’ai également compris l’importance d’accueillir le regard des autres et porter moi-même un regard ouvert et bienveillant sur chacun.
Cette rencontre a établi un lien profond, permanent, indestructible de confiance en Jésus que je sais proche de moi.
Chaque jour, et dans les moments difficiles notamment, je prie : « Jésus, j’ai confiance en Toi. »
Je sais donc avec certitude que Jésus est la Parole de Dieu, la Vérité et la Vie. Il m’a donné de le voir.
Mais pourquoi Jésus nous dit qu’il est le Chemin ? et que personne ne peut aller au Père sans passer par Lui ? Jean 14.6
Je connais bien des gens des quatre coins du monde, d’Europe, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique, que je prends comme amis. Certains ne sont pas chrétiens. Ils sont d’autres confessions et certains sont même athées, mais agissent chacun à leur façon pour le bien du monde.
Et finalement j’ai compris pourquoi Jésus est effectivement le seul Chemin pour tout homme sur terre quelles que soient sa culture, ses origines, sa religion.
Dieu est Le Créateur. Il me faut reconnaître ma condition d’homme, créature de Dieu.
N’étant pas de nature divine, je dois comprendre et accepter que mon Salut est dans les mains de Dieu. Ma condition humaine ne me permet pas d’accéder, tel quel, au divin.
Si je n’appelle pas Dieu à mon secours, si je ne tends pas la main vers lui, je ne pourrai pas accéder par moi-même au Royaume de Dieu et à la Vie éternelle.
Il n’y a qu’un seul Chemin de Lumière parce qu’il n’y a qu’un seul Royaume et qu’un seul Dieu.
Et ce Chemin de Lumière passe par la Vérité pour le Salut de mon âme.
La Parole de la Vérité éclaire ma conscience en toute transparence pour purifier mon âme.
Et l’acceptation de la Vérité, qui implique la reconnaissance de mes faiblesses, délivre mon âme.
Sans accueil sincère de la Vérité absolue mon âme ne peut pas accéder au Salut.
Or, je sais que Jésus est la Vérité.
C’est pourquoi Jésus est le Chemin du Salut, la porte pour accéder à la Vie éternelle pour tout homme sur terre.
Tout homme fera face à la Vérité et verra, au moment voulu, le Chemin de Lumière qui mène à la Vie éternelle auprès de Dieu.
Alors, et dès à présent, tous mes efforts sur terre pour plus de vérité, plus d’amour et de charité, sont autant de pas parcourus sur le Chemin vers la Vie éternelle.
Il est des personnes de tous milieux, de tous âges, de toutes origines et de toutes confessions qui sont très proches de la sainteté avant même de quitter le monde, et d’autres pour lesquelles le chemin est encore long.
Mais comprenons-le bien ; les œuvres ne sont pas l’essentiel.
Combien d’œuvres sont nécessaires pour garantir mon Salut ? Dix, cent, mille ? Y a-t-il un prix pour le salut de mon âme ? Non.
Surtout, prions pour qu’aucune œuvre ne devienne source de profit, de désordre, ou d’orgueil, pour moi-même ou pour mes frères. L’œuvre ne doit jamais devenir une fin en soi.
Jésus est infiniment doux. Il ne me dit pas : « Fais absolument ceci ou cela », mais il m'interpelle plutôt sur ma vie : « Est-ce que tu m'aimes ? ».
L’essentiel est donc de savoir se blottir dans les bras de Jésus, se consacrer tout entier à Jésus. Là, le mal ne peut pas s’approcher. Là, est le Salut.
L’œuvre sera le fruit de cet essentiel là.
J’y vois aussi un parallèle dans le mariage ; quand homme et femme ne font plus qu’un, en esprit, en projet de vie, en confiance et en espérance, alors le mal n’a plus d’emprise sur eux. Ils deviennent cocréateurs et lumière dans le monde, à l’image de Dieu.
Je sais que vivre cela chaque jour semble inaccessible, mais grâce à Toi Seigneur : « Que ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel ».
Demeurons dans l’Amour de Jésus pour avancer jour après jour sur le Chemin qui mène au Ciel.
Il en va du Salut de nos âmes, car Lui seul peut nous sauver.
Enfin, pourquoi fallait-il que Jésus souffre et meurt sur la croix pour nous sauver ?
Pour bien comprendre, nous devons reconnaître la nature de notre humanité et réaliser combien Dieu créateur est infiniment plus grand que nous.
En tant qu’homme, j’aime ma femme et mes enfants, ma famille. C’est bien naturel, je leur dois beaucoup.
Je suis prêt à aimer mes amis et mes voisins que je connais parfois à peine. Je reconnais leur bienveillance, je les respecte et j’aime être utile à la société.
Si quelqu’un autour de moi, ou même un inconnu, a de gros soucis, tombe gravement malade ou se retrouve dans la misère et la détresse, j’espère que je saurai ne pas être indifférent à sa souffrance, faire preuve de charité, soigner et guérir gratuitement.
Mais si quelqu’un m’insulte, si l’on m’humilie devant tout le monde, si l’on me crache au visage et me frappe… Je risque fort de succomber à la tentation de vouloir rendre le mal pour le mal, haïr en retour, appeler à la vengeance, mépriser et peut-être même tuer.
Jésus, lui, est Amour, cœur pur et présence de Dieu sur la terre. Son amour pour l’homme est absolu.
Sa mort sur la croix est la preuve ultime de son amour absolu pour les hommes. Amour qui respecte totalement la liberté de l’homme.
C’est parce qu’il n’aime ni le mal ni la souffrance, qu’il n’a jamais rendu le mal pour le mal. Il n’a pas répondu aux injures et au déferlement de haine contre lui.
Il aurait pu balayer la foule en un éclair, pétrifier sur place ceux qui s’acharnaient sur lui et chasser les démons de leurs cœurs.
Serions-nous vraiment libre si Dieu nous empêchait de faire le mal ?
Notre liberté passe par le sacrifice ultime de Jésus, signe laissé à tous les hommes pour comprendre à quel point il respecte notre liberté, par amour.
Aucun prophète, aucun sage et aucun autre homme n’a jamais fait ce que Jésus a accompli pour l’homme.
Aujourd’hui, comprenons-le bien, nous continuons à blesser Jésus à chaque fois que nous ne prenons pas soin du plus petit de nos frères. Je blesse Jésus lorsque je suis indifférent à sa parole et à sa présence dans le monde. Lui qui m’aime tant et m’en a donné la preuve absolue par son sacrifice. Car ne l’oublions pas, il a vaincu la mort. Il est ressuscité et bien vivant, si proche de nous, pour peu qu’on l’appelle.
Je suis libre, totalement libre, et aimé de Dieu quoi qu’il arrive.
Alors, il n’y a que deux alternatives possibles avant ma mort :
Soit je reconnais ma condition et mes fautes en vérité. Je me tourne alors vers Dieu et j’implore son pardon. Jésus me sauvera et m’ouvrira l’accès au Royaume et à la Vie Eternelle.
Soit, je m’enferme dans l’orgueil et refuse de reconnaître mes péchés en vérité. Je rejette en toute conscience l’Esprit Saint de Dieu. Je ne peux alors pas être pardonné. Je suis perdu à jamais.
Cette liberté est donc fondatrice pour notre vie. Elle permet en effet de choisir entre la Vie et la mort, pour l’éternité.
Notre liberté n’existe que par le don de l’amour absolu de Dieu pour l’homme et cet amour nous a été démontré par Jésus sur la croix.
Voilà pourquoi il fallait que Jésus souffre et meurt sur la croix pour nous sauver.
Vraiment, il n’y avait pas d’autre moyen.
A ceux qui n’y croient pas ; Rassurez vous !
Jean-Paul II disait : « N'ayez pas peur ! », « Ouvrez vos portes ! », « La vérité l’emportera toujours sur le mensonge ! ».
Si ce que je dis est faux, ce sera vite oublié et sans aucune conséquence à l’échelle de l’humanité sur terre.
Si mon témoignage est vrai, il s’ajoute simplement à la multitude de témoignages passés, présents et futurs, d’autres personnes, partout dans le monde, qui ont fait l’expérience d’une rencontre personnelle avec Jésus.
Je ne demande rien des autres et je n’attends rien en retour pour moi-même. Je rends simplement grâce pour ce que Jésus m’a donné.
Chacun avance sur son propre chemin selon ses propres choix ou contraintes personnelles, culturelles, sociétales.
Depuis plus de 2000 ans, la Bonne Nouvelle est annoncée, de tout temps et en tout lieu, pour le salut du monde :
« Jésus est le chemin, la vérité et la vie. » Jean 14.6
Guillaume M, Mai 1998
Témoignages Chrétiens
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- Notre Père -
Notre Père
qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite,
sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour,
pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi
à ceux qui nous ont offensés
et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre nous du mal.
Amen.
